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Trompe-l’œil architectural

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C’est sur les murs et les plafonds des villas, des palais que le trompe-l’œil architectural triomphe. Il permet d’ouvrir l’espace intérieur, de le modifier : l’artiste transforme l’espace habité et quotidien en un environnement imaginaire et ludique. Les balustrades, les escaliers, les fausses colonnes et sculptures, les personnages fictifs, les portes ouvertes, les faux cieux sur les plafonds plats, les fenêtres et les rideaux sont peints en trompe-l’œil avec une virtuosité incontestable.
Très utilisée depuis le XVème siècle dans les églises d’Europe, l’architecture en trompe-l’œil permet d’obtenir un effet de hauteur et de dôme ouvert vers le ciel. L’artiste donne ainsi l’illusion au spectateur d’avoir une vue sur l’Au-delà.

Trompe-l’œil de chevalet

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L’art du trompe-l’œil de chevalet apparaît au XVème et XVIème siècle et obéit à des règles très précises : représentation du sujet en grandeur nature, aucun élément représenté ne doit être coupé par le cadre, la signature de l’artiste doit être dissimulée dans un élément du tableau… Cet art nécessite une minutie extrême et une parfaite maîtrise des techniques du dessin. Le génie créateur des peintres qui s’adonnent à cet art, réside dans la mise en scène.

Anamorphose

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Une anamorphose est une déformation réversible d’une image à l’aide d’un système optique – tel un miroir courbe – ou un procédé mathématique…
Le spectateur doit se positionner à un point de vue préétabli et privilégié.
Ainsi l’artiste implique le spectateur dans la mise en scène de l’œuvre et l’entraîne dans un univers imaginaire, insolite, étonnant et fantastique.
Historiquement, l’anamorphose est l’une des applications des travaux de Piero della Francesca sur la perspective.

Trompe-l’œil d’intérieur

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Ce genre de peinture, déjà fréquemment utilisé par les peintres de fresques de l’Antiquité grecque ou romaine, a ressurgi à la Renaissance puis au XVIIIème siècle pour orner les murs des palais, des châteaux et des hôtels particuliers.Aujourd’hui, le trompe-l’œil d’intérieur redevient un élément de décor à part entière dans nos maisons.

Trompe-l’œil urbain – Street art

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Depuis quelques années, le trompe-l’œil bénéficie d’une nouvelle vitrine qui lui permet d’être connu du grand public parce qu’il s’expose, en surface immense, sur les murs de nos quartiers, récemment sur les bâches de protection qui abritent les chantiers de construction ou de restauration, sur le sol et les trottoirs « Street Art ».

Body Painting

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La peinture corporelle, également nommée body-painting est l’une des premières formes d’expression plastique utilisée par nos ancêtres.
Cet art spectaculaire réapparaît à l’époque contemporaine et attise les curiosités.
Source de création inépuisable, l’artiste habille les corps de représentations fantastiques en troublant les perceptions du spectateur.

L'exposition itinérante
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La fondatrice
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Le trompe l'oeil
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